Robert vient de me dire : « Ouin, ça paraît que tu
as eu ton traitement (12-10!). Tu es comme une fille en surdose de café… ».
Je ricane : « C’est comme ça que je me sens,
exaltée et un peu névrosée. » Il y a quelques semaines, vers minuit, j’ai
pensé à mon blogue, je me suis mise à rire et j’étais incapable d’arrêter. J’en
ai réveillé Robert et Microbe Éloi! Ce
soir, si je m’écoutais, je ferais du ménage, un gâteau de fête pour ma Mamie
(75 ans demain), je regarderais des films toute la nuit… Mais j’en suis venue à
la conclusion que ce serait mieux de faire un message de blogue : moins épuisant…
hi hi hi !
J’aime bien bouquiner. Et
surtout, j’essaie de résister à l'envie d'acheter. J’avais décidé de consommer moins, car
j’étais un peu droguée de livres. Je ne les ai même pas
tous lus. COUPABLE! Maintenant, quand j’en achète, je les offre en
cadeau et je propose de passer au suivant… (Parfois à moi, mais bon! Ah! Ah!
Ah!) Hier, j’ai reçu mon magazine Coup
de pouce (oui, j’en suis! Hé hé!) et le sous-titre, MISSION : BONHEUR, s’inscrit
dans une réflexion que j’ai amorcée 2-3 jours plus tôt sur le « commerce »
du bonheur. Avez-vous remarqué la multitude de livres sur cette ultime quête
des années 2000? J’en ai lu quelques-uns. À leur façon, ils ont contribué à mon
cheminement. Mais, je trouve que le mot bonheur est utilisé à toutes les sauces et j’ai
un peu peur pour la suite. Est-ce un mot qui perdra du
sens? Plaidoyer pour le bonheur, Opération bonheur: une année pour apprendre
à chanter, ranger ses placards, se battre s'il le faut, lire Aristote… et être
heureux, La fabrique du bonheur, Happiness: la petite boîte du bonheur,
Le secret du bonheur, etc. Ce ne sont que quelques titres que j’ai choisis
au hasard. Je ne critiquerai rien, je ne chialerai pas, je ne me permettrais
pas ça. Toutefois, quand j’ai vu la thématique du magazine, je me suis quand
même questionnée sur l’utilité ou la pertinence d’en ajouter. Le sujet n’est-il
pas traité en son entier? J’ai lu l’article central et je l’ai trouvé
intéressant malgré tout. À mon avis, c’est complet et simple. Alors, j’ai décidé de
partager les grandes lignes avec vous :
vous n’aurez pas besoin de l’acheter… hi hi hi.
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Être heureux, ça s’apprend
RICHER Annier, Coup de Pouce, mars 2012, pages 38-44
INGRÉDIENTS DE BASE:
Une
pincée de résilience (Être heureux signifie qu’on possède ses éléments de
bonheur assez bien pour retomber sur ses pieds quand le malheur passe.)
Des gènes heureux (50% de notre propension au bonheur est attribuable à notre bagage génétique, un 10% relève de facteurs sociodémographiques et 40% restants sont des choix que nous faisons.)
Un optimiste réaliste (Pas d’insouciance ni de lunettes roses, l’avenir nous réserve de belles choses, nous avons un certain pouvoir sur ce qui arrive et on peut s’entraîner à modifier le regard qu’on porte sur les événements.)
La quête de sens (À sa vie ou à ses actions, une bonne estime de soi, des projets, des gestes posés parce qu’on croit en leur importance, des réussites concrètes et peut-être revoir nos priorités).
L’ouverture au changement ( Être disponible… Un proverbe polynésien :L’arbre a des racines, l’homme a des jambes. Ce n’est pas pour rien.)
Des relations significatives (Qualité, intimité, rires… Mais ne pas se transformer en bête sociale. Se sentir confortable dans les moments de solitude. Atteindre un équilibre entre solitude et vie sociale.)
DES EXTRAS:
Hop! On se magne. On sourit! Un plaisir chaque jour. Raison et passion (créer des connexions entre le raisonnement et la créativité en pratiquant une activité comme la musique ou la peinture).
FAUSSES PISTES:
Être riche, réussir dans la vie (apprendre à départager nos besoins de nos envies), une belle sécurité (trop c’est comme pas assez, les gens heureux prennent des risques et ont du plaisir à rebâtir).
Il faut arrêter
de chercher, soyons attentifs. Finalement: LÂCHER
PRISE ET PRENDRE ÇA COOL!Des gènes heureux (50% de notre propension au bonheur est attribuable à notre bagage génétique, un 10% relève de facteurs sociodémographiques et 40% restants sont des choix que nous faisons.)
Un optimiste réaliste (Pas d’insouciance ni de lunettes roses, l’avenir nous réserve de belles choses, nous avons un certain pouvoir sur ce qui arrive et on peut s’entraîner à modifier le regard qu’on porte sur les événements.)
La quête de sens (À sa vie ou à ses actions, une bonne estime de soi, des projets, des gestes posés parce qu’on croit en leur importance, des réussites concrètes et peut-être revoir nos priorités).
L’ouverture au changement ( Être disponible… Un proverbe polynésien :L’arbre a des racines, l’homme a des jambes. Ce n’est pas pour rien.)
Des relations significatives (Qualité, intimité, rires… Mais ne pas se transformer en bête sociale. Se sentir confortable dans les moments de solitude. Atteindre un équilibre entre solitude et vie sociale.)
DES EXTRAS:
Hop! On se magne. On sourit! Un plaisir chaque jour. Raison et passion (créer des connexions entre le raisonnement et la créativité en pratiquant une activité comme la musique ou la peinture).
FAUSSES PISTES:
Être riche, réussir dans la vie (apprendre à départager nos besoins de nos envies), une belle sécurité (trop c’est comme pas assez, les gens heureux prennent des risques et ont du plaisir à rebâtir).
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Je vous avoue que j'ai aimé le "prendre ça cool". Cela vient mettre des mots simples, mais efficaces, sur l'état d'esprit dans lequel j'aime me sentir.
P.S. : En passant, j’ai
trouvé quelqu’un pour adopter mon fameux casse-tête. Il aura des jours
meilleurs... J’ai lâché prise! Hi
hi hi!
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